Sex UnShamed !

SEX UNSHAMED 2 : Le jour où j’ai goûté mon pasteur…

(Tous les prénoms ont été changés par souci de confidentialité)

 

“Une femme à genoux est une femme puissante”.

           Le nouveau pasteur le répétait encore et encore alors qu’il exhortait les femmes de notre congrégation religieuse à se mettre à genoux pour prier pour leurs maris et notre pays. La féministe en moi avait plutôt vu la chose sous un tout autre angle. Les rouages de mon cerveau trop longtemps exercé à tourner à plein régime s’étaient mis en branle; j’entrevoyais déjà un autre complot machiste pour mieux asservir la femme…

            Mais je n’avais compris le vrai sens de cette expression que lorsque je me m’étais retrouvée à genoux entre les jambes du pasteur, sa bite profondément enfoncée dans ma bouche et ma langue s’enroulant sensuellement autour d’elle.

              C’était à la fin du service dominical. A la base, je suis née dans l’Eglise Universelle. Mais comme la plupart des personnes sans grande foi nées dans des familles spirituellement compliquées, j’avais trouvé refuge dans cette église dite réveillée.

             J’étais une jeune fille ronde et sans intérêt que le pasteur n’avait sûrement même pas particulièrement remarqué depuis son affectation sur notre branche paroissiale deux mois plus tôt; enfin, ronde et sans intérêt, je le suis toujours, mais bon, passons! Ce n’est pas le sujet.

               Ce pasteur était tout le contraire de son prédécesseur : plus jeune, avec un sex appeal indéniable, je l’ai tout de suite trouvé à mon goût, le jour où j’ai remarqué la proéminence de son sexe à travers le tissu fin de son pantalon, un soir de veillée. Il était fiancé à une jeune fille qui fréquentait la branche principale de l’église et qui allait le rejoindre après la célébration du mariage prévue deux semaines plus tard. La prêche du jour portait sur le sujet des vocations. A la fin du culte, le Pasteur avait invité tous les jeunes de la paroisse qui n’avaient pas encore trouvé leur vocation à le rencontrer. A l’époque, je ne savais même pas si j’aimais aller à l’église. Alors, dire que j’avais découvert ma vocation…

                 Bref ! Toujours est-il que nous étions une dizaine de jeunes à nous retrouver dans le hall. Sandrine était là. Sandrine, la plus belle fille de la congrégation. Sandrine, la sangsue. Je la connaissais déjà au collège, je savais qu’elle ne donnait pas dans la spiritualité. Je la soupçonnais de n’être là que pour chasser. Soit ! J’avais d’autres atouts, elle ne me faisait absolument pas peur. J’avais décidé de goûter au pasteur. Et personne, pas même Sandrine, n’aurait pu m’en empêcher. (Eh oui ! A force de subir, j’ai décidé de faire de mes défauts un atout; cela faisait de moi une garce rebelle, mais ça, c’est une histoire que je vous conterai une autre fois).

                La séance avait été brève. Le pasteur nous avait recommandé un certain nombre de prières à faire durant trois jours en plus du jeûne pour demander le concours du Saint-Esprit dans cette quête avant de revenir le voir le dimanche suivant. Puis, il avait pris congé de nous.

  •  Excusez-moi, pasteur !
  • Oui sœur Carine … ?

                 C’était la première fois que ses yeux croisaient les miens, et bizarrement, j’y avais lu de la confusion ! De la confusion ? Hum, Pastor ! Je ne suis pas du genre à sauter aux conclusions, mais se pourrait-il que … ?

  • Sœur Carine, vous aviez quelque chose à me dire… ?
  • Je peux vous suivre dans votre bureau, s’il vous plaît ? Je crois que je connais déjà ma vocation, mais mon environnement familial ne me permet pas d’aller dans le sens de Dieu.

                 Il avait regardé autour de nous, puis m’avait invité à le suivre. Je sentais le regard acéré de Sandrine transpercer mon dos. Je jubilais intérieurement. Dès notre entrée, une fois la porte fermée, il s’était réfugié derrière son bureau et m’avait fait signe de m’asseoir. Bizarre !

  • Un fruit, cela vous dit ? me demanda-t-il en désignant la corbeille à fruits posée sur le bureau.

                 Je pris une banane. Une bien grosse banane, je devais l’avouer. Bien mûre, bien jaune, le genre qui prend toute la place quand on la met en bouche. Maintenant que j’étais seule avec lui, je sentais ma détermination flancher. Je craignais de ne pouvoir aller au bout de mon projet de séduction. Et si cela tournait court ou s’il me repoussait ? Je savais qu’il était trop tard pour reculer, je baillonai donc ma conscience et pelai doucement ma banane. Il m’observait intrigué, se demandant à quoi rimait mon manège. Il n’avait pas besoin de le formuler à voix haute, son regard parlait pour lui.

                  La banane débarrassée de sa pelure, je l’engloutis langoureusement, mimant une gorge profonde sous le regard maintenant voilé de mon vis-à-vis. Ses yeux ne rataient rien du spectacle alléchant que je lui offrais. Ma langue virevoltait autour du fruit qui glissait désormais de façon rythmique dans et hors de ma bouche avec ma salive servant de lubrifiant. Il n’y tint plus.Toujours sans me quitter des yeux, il fit un mouvement sur le côté pour soulager la tension grandissante dans son pantalon. C’est là que j’ai décidé de passer à l’attaque.

                   Féline, je m’étais approché de lui, puis, pivotant son fauteuil vers moi, je lui avais écarté les jambes et m’étais installée entre elles.

  • Laissez-moi faire, pasteur.

                     Il fit un non hésitant de la tête, puis tenta d’agripper sa Bible qui trônait sur le bureau. Je l’en empêchai en fourrant son majeur dans la chaleur glissante et accueillante de ma bouche.

  • S…Soeur Carine… Non, ne faîtes pas… Oh oui !, bégayait-il dans une pitoyable tentative de résister au manque et à l’envie flagrants que je décelais derrière ses iris voilés.

                   Poussant un lourd soupir, il ferma les yeux. Je sus que j’avais gagné la partie. M’enhardissant, je défis rapidement les boutons de son pantalon pour en sortir l’objet de tous mes fantasmes. Puis sans hésiter, je plantai mes yeux dans les siens et l’engloutit goulûment…

                                                                                A suivre !

Related Posts

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *